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    Accueil » Les échos du pot » Des boues des STEP au compost et à l’humus
    Transmettre une terre saine à nos petits enfants
    Les échos du pot

    Des boues des STEP au compost et à l’humus

    Par Maurin Fontaine20/06/2024Aucun commentaire
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    Il y a quelque temps, nous avons reçu cette lettre ouverte « Des boues des STEP (comprenez : Station d’épuration) au compost et à l’humus de Madame Claudine Le Tallec, citoyenne, maman, mamie, ménagère et jardinière militante. Impressionnés par la qualité du style autant que par la richesse des sources, nous avons proposé de publier ce plaidoyer en faveur du compostage de nos bio ressources. Nous vous livrons donc cette lettre ouverte dans sa forme originale avec seulement quelques ajout d’illustrations. Bonne lecture !

     

    Claudine Le Tallec Mamirolle,
    le 13 juin 2023
    2 Rue Champs Grosbois
    25620 MAMIROLLE

    Alain MATHIEU
    Président du CIGC
    A la filière comté
    1 Rue de la Maison du Comté
    39800 POLIGNY

    Objet : Des boues des step au compost et à l’humus.

    Monsieur le Président,

    Mesdames, Messieurs les membres de la filière comté,

    Le 25 avril 2023, je lis avec grand plaisir, en 1ère page de L’Est Républicain : « La filière comté met fin à l’utilisation des boues d’épandage ».

    La filière comté ne veut plus des boues d'épuration

    Vite, je dévore l’excellent condensé de Maryline Chalon, en page 8 ! Je vous dis alors : bravo et merci, merci, merci au « Pays du comté » et de ses « 1220 communes du Doubs, du Jura, de l’Ain…, 252 800 ha et surtout, surtout, ses 2600 producteurs ». (source Internet)

    Je vous écris pour vous féliciter, comme simple citoyenne, maman, mamie, ménagère, jardinière de 72 ans, cuisinière gourmande aussi, qui apprécie les produits alimentaires de qualité, tel le comté.

    Les fruitières du pays de Comté.

    Je reconnais là le « bon sens paysan » et le bon sens du collectif, des coopératives, de « L’union qui fait la force » de ces fameuses « fruitières » qui savent partager le fruit du travail des hommes et de la terre.

    C’est vous, rassemblés, qui êtes dans le vrai ; « L’agglo – Grand Besançon Métropole – montre les crocs » (E.R. du 3 mai 2023)

    L’agglo – Grand Besançon Métropole -  montre les crocs.

    parce que c’est encore difficile pour elle de voir et d’accepter cette vérité. La régie que cette structure a la chance d’être va aussi comprendre le bien-fondé de vos positions et décisions et entreprendre de grands changements ; cela devient évident malgré les normes actuelles en vigueur quasiment partout.
    Dans L’Est Républicain du 7 juin 2023, sous Frasne, je lis : Climat : les enfants lancent un cri d’alarme… C’est notre avenir qui est en jeu, alors changez vos habitudes ! »
    Alors, je veux croire qu’on va aller jusqu’à les oublier complètement ces boues en mettant, tous ensemble, « La fin du tout-à-l’égout » !

    En effet, réfléchissons. Quel est le sens, l’aberration plutôt, de les épandre ailleurs, dans « les grandes cultures et les prairies hors comté… dans certaines communes » ou de les incinérer ou de les enfouir, souvent au loin, chez les autres, là où on ne saurait les voir ! C’est « reculer pour mieux sauter ». C’est prendre le risque de les voir revenir « comme un boomerang ».

    Si on les refuse, les interdit, si on les brûle, les enfouit, c’est qu’elles sont vraiment mauvaises ces boues, mortes, inertes, hygiénisées (!) On sait bien que les pollutions, on ne peut jamais les éliminer, seulement les repousser, les concentrer. Évitons donc de les produire.

    Ce n’est pas d’aujourd’hui que certains s’en préoccupent. Par exemple, en 1999, le 23 septembre, paraissait dans L’Express : « Que faire des boues des stations d’épuration ? On ne sait plus comment se débarrasser (!) proprement (!) des rejets des stations d’épuration.

    Les gestionnaires de l’eau, l’État et les cultivateurs s’en inquiètent… Luc Guyau, président de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles, a appelé ses adhérents à refuser ce qu’il appelle les « résidus des urbains », laissant entendre qu’on y trouve toutes sortes de poisons. » Etc, etc. Je vous conseille vraiment la lecture de cet article en entier qui, là, met surtout l’accent sur les métaux lourds, mais pas que.

    Je note que les épandages en question sont déjà interdits « dans la viticulture, dans la zone de production du Beaufort et l’agriculture biologique. » Dans des communes de même. Dans d’autres lieux plus insolites : au moins depuis 2011, au camp militaire de Valdahon ! (E.R. du 4/9/2011) Cet article précise : « Progressivement coupés des activités humaines et notamment protégés de l’épandage des boues de la station d’épuration, les terrains du camp du 13 ème régiment du génie sont devenus de véritables sanctuaires. Ce qui n’est pas une exception. Grâce à leurs vastes espaces peu urbanisés, les troupes du ministère de la Défense assurent désormais en bien des endroits la protection de nombre d’espèces » …

    L'épandage des boues de station d'épuration.

    Cela me fait penser (et revenir à notre alimentation de qualité) aux concours des prairies fleuries parce que cette même zone dont il est question ici, a aussi compris tous les bienfaits de ces fleurs nombreuses, diversifiées, à la floraison et aux graines respectées pour se reproduire.

    Arrivés ici dans votre lecture, vous constatez que la modeste retraitée que je suis n’a rien inventé. J’essaie seulement et difficilement, il faut l’avouer, de rassembler le puzzle des informations recueillies, émanant de celles et ceux qui pratiquent sur le terrain, trouvent, constatent, transmettent leurs compétences, les paysans en premier, mais aussi nombre d’ingénieurs agronomes, chercheurs, doctorants…

    Depuis que je sais, grâce à eux, je viens de l’écrire, j’ai tout de suite compris et j’expérimente à mon petit niveau pour vivre selon ce que je pense, dis et écris. Pour rester un peu la paysanne dans l’âme que je suis grâce à la vie à la ferme de mon Grand-Père illettré dans mon enfance. Je cultive potager et verger en autonomie – sur notre terrain d’à peine 1000 m2 en lotissement – en autonomie, en compostant les ressources organiques dont je dispose : en cuisine, au jardin dont les broyats divers et variés, mais aussi nos « affaires » intestinales et rénales, rassemblées avec de la litière carbonée, les fameuses « toilettes sèches ». Celles-ci valorisent mon travail et le rendent léger rien qu’en imaginant voir sortir de la lunette, fleurs des prés, légumes et fruits colorés à profusion !

    J’ai bien conscience que ces toilettes restent confidentielles, même si des « techniques douces » comme entendu à la radio ce midi, les mettent plus à la portée de tout un chacun. Chez nous, par exemple, nous allons passer bientôt, pour tout ou partie, du seau inox à vider tous les 5/6 jours, au composteur directement, sur lequel on aura installé une lunette de WC et son abattant. Bien sûr, il nous faudra grimper une ou deux marches pour s’installer sur le « trône », dans un local adéquat de la maison ou dans la fameuse cabane au fond du jardin ! Un 2 ème « trône » à côté recevra la lunette quand le 1ᵉʳ sera plein et en compostage… Fini l’antique pot-de-chambre qui sent mauvais parce qu’on a enfin compris qu’il y avait juste à ajouter une litière !

    Réconconcilions-nous avec la nature.

    J’ai bien conscience aussi que, s’il y a des millions de Français qui vivent en maison avec jardin, d’autres millions vivent plus en hors-sol, en appartement. Parmi les premiers, tous ne sont pas prêts aux toilettes sèches individuelles et, pour ceux-ci et les autres, nous pouvons trouver des solutions plurielles adaptées. On va bien dans le cosmos et notre région est bien connue pour ses prouesses en microtechnologies.

    Donc, il nous faut passer aux systèmes collectifs, c’est impératif et urgent maintenant. Nous sommes bien passés de nos « bonnes » vieilles décharges à tout-mettre, aux poubelles grises, jaunes, à verre, aux piles, aux bouteilles de plastique, etc. aux composteurs individuels et collectifs en pied d’immeubles et d’établissements divers et variés, aux collectes dans les restaurants, aux toilettes sèches évènementielles (festivals et autres fêtes), aux composteurs qui vont être mis, en 2024, à disposition de leurs administrés par les collectivités locales (loi AGEC) … avant la prochaine obligation de composter toutes nos ressources de cuisine, restes de repas.

    La prochaine étape sera donc la fin collective du tout à l’égout pour le tout compostage et la valorisation des eaux dites « savonneuses » en faveur de l’agriculture, la première des Cultures, avec un grand C, soit dit en passant.

    Un bon exemple figure dans la vidéo du site Internet www.eautarcie.org , sous le nom justement de : « La fin du tout à l’égout » (8 mn en version courte et 13 mn en version complète).

    Charge polluante des eaux usées.

    On parle de « l’Or brun » des étables et des prés car, dans ceux-ci la vache c’est « une barre de fauche à l’avant et un épandeur à l’arrière ». Cette joyeuse comparaison est d’un petit paysan breton en polyculture-élevage, venu ici en conférence nous parler des élevages d’animaux sur paille au lieu de caillebotis et lisier.

    Alors je me demande pourquoi cet « Or brun » des étables et prés est aussi précieux, comparé à celui de nos logis, repoussé, évacué, dilué dans de l’eau potable, et envoyé de plus en plus loin de nos regards, pour « épuration » ?

    S’agit-il d’épuration à propos des animaux d’élevage ? Il s’agit bien de transformation, de métamorphose des matières organiques compostées (ou au pré) en HUMUS nécessaire pour les HUMAINS au maintien des sols, des terres, riches, abondantes, capables de stocker le carbone, l’eau, de produire une nourriture saine pour les animaux et nous. Capables aussi, il paraîtrait, de transformer les résidus des médicaments et virus néfastes à notre santé . Cela me semble plausible car j’ai lu par ailleurs que du compost était utilisé pour dépolluer des sites.

    Des formations aux toilettes sèches individuelles ont eu lieu chez nous grâce à la Société, elle aussi coopérative, Trivial Compost de Besançon. Cette Société qui propose des toilettes sèches évènementielles et bien d’autres services à la société, est une pionnière admirable et respectable. Pour en savoir plus, il suffit de consulter son site Internet.

    J’ai pris des contacts intéressants avec l’ENIL de Mamirolle, ma voisine, lors de « portes ouvertes ». Cette école a le privilège de former des jeunes tant en matière de produits laitiers, dont le comté, qu’en systèmes d’eau et d’assainissement. Rien qu’ici, la boucle semble bouclée, il me semble, et pour vous ?

    Depuis quelques années, j’informe de temps en temps, à mon humble niveau, en transmettant ce que j’apprends des autres plus compétents que moi, des collectivités territoriales, des élus et élues de communes, du département, de la région. Puissent-elles, puissent-ils répondre maintenant favorablement à l’appel de votre filière importante toute entière pour être capables, tous ensemble, sur les terres du comté, de la Comté, de répondre aux cris des enfants de Frasne et d’ailleurs, en changeant nos habitudes.

    Puisqu’il s’agit de passer au collectif, j’ai pris contact avec des jeunes ingénieurs, techniciens, doctorants, chercheurs de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées, dite Ponts Paris Tech. Il sont au travail sur le sujet de cette lettre et un grand espoir à mes yeux. Ils ont, notamment, créer un spectacle : HUMUS HUMAINS, proposé dans des écoles d’agriculture (et à l’ENIL local par mes soins). Et surtout, ils ont commencé d’expérimenter, par exemple, en périphérie de Lyon, dans des communes de moins de 10000 habitants pour l’instant… Des informations sont à votre disposition les concernant sur Internet à : LEESU/OCAPI/PROJET KOLOS (LEESU, Laboratoire Eau Environnement et systèmes urbains).

    Ces matières dont nous devons compte à la nature.

    Ce qui me paraît particulièrement à retenir dans leur approche, c’est qu’ils démarchent les agriculteurs en premier lieu ; ils veulent surtout travailler avec eux. Ils nous disent : si le monde agricole est en demande forte de fertilisants, il va générer la ou les filières à mettre en place.

    Il s’agit surtout d’une demande des paysans, d’une « véritable vague de fond » ! Il paraît qu’on dit « Demandez et vous recevrez », jusqu’à faire changer la loi, sachant que celle-ci permet déjà de commencer à changer.

    Bien sûr, comme motivations, il y a sans doute la peur d’une pénurie d’engrais chimiques de synthèse ou de leur prix de plus en plus onéreux, selon la géopolitique mondiale.

    Mais il y a surtout à retenir la qualité, les alternatives saines, les matières organiques naturelles pour les sols, donc pour notre alimentation et notre santé. Il en va de la fierté, de la reconnaissance de ceux qui nous nourrissent… si on veut qu’ils reprennent dignement les fermes et deviennent plus nombreux comme pressenti depuis un certain temps : cela fait belle lurette que j’ai lu des livres annonçant « le retour des paysans ».

    Le cœur du compost.

    On pourrait imaginer que le système actuel du tout à l’égout est plus ou moins négligeable en quantité au regard des besoins de l’agriculture (en complément des fumiers, des légumineuses, des couvre-sols, etc, etc.). Lisez plutôt ceci : « A la dangereuse station d’épuration d’Achères, dans les Yvelines, classée site Sévéso au plus haut risque (!) et 2ème mondiale après celle de Chicago, il arrive ce qui suit.

    Comme nous excrétons en moyenne 150 grammes de matières fécales par jour et produisons 1.5 litre d’urine – et sachant qu’elle retraite les eaux usées de 6 millions de franciliens – chaque année la station reçoit 328 millions de kilos de caca et plus de 3 milliards de litres de pipi… ». Faites la règle de 3 pour 67 millions de français et voyez qu’il ne s’agit pas de « pipi de chat » ! Il s’agit bien d’un gisement colossal, d’une géniale richesse apte à changer nos habitudes. D’autant plus qu’elle s’ajoute aux bioressources organiques de nos cuisines, jardins, parcs, haies…

    Questionné sur la stratégie à adopter pour régénérer les sols, résister à la guerre économique au niveau de l’agriculture qu’on est en train de subir, pour contrer les pollutions… un microbiologiste des sols a répondu à la phrase suivante : « Qu’est-ce qu’il faut planter ? Semer ? Réponse fulgurante : « Ce n’est pas ce qu’il faut planter ou semer, c’est comment on va faire pour nourrir ces plantes ? Depuis 150 ans environ, on a inventé le tout à l’égout. C’est une vraie catastrophe. »

    source : Lydia et Claude Bourguignon, https://www.youtube.com/live/OWnT1bkHQto

    Les sols à l'agonie, peut-on encore les sauver ?

    A la question suivante : « Que doit faire un gouvernement ? Réponse tout aussi rapide : « Arrêtez le tout à l’égout et composter tout ce qui vient des villes »… et des villages. Pour en savoir plus : Youtube : « Les sols à l’agonie, peut-on encore les sauver ? » Ce qui nous concerne s’écoute de 1 H 44mn 40 sec à 1 H 47 mn 45 sec, soit environ 3 mn.

    Vers 5 mn 30 sec, ce même spécialiste des sols nous dit : « Les engrais chimiques détruisent la terre que nous perdons donc et notre patrimoine alimentaire avec. C’est un cercle infernal demandant de plus en plus d’engrais car les sols sont de plus en plus pauvres, jusqu’à la roche, avec l’érosion. »

    « Avec du compost, on restaure la VIE d’un sol peu abîmé en 4 ou 5 ans, mais si beaucoup détérioré, il faut jusqu’à 15 à 20 ans ».

    Oui, je pense aussi que le gaspillage de fertilisants naturels disponibles est la première raison d’arrêt du tout à l’égout, même si l’économie d’eau (potable!?) et la pollution de l’eau a bien sûr sa grande importance.

    Il me semble que la 1ère AOC fromagère de France a une immense opportunité à saisir, un exemple à donner ; elle le peut vu son importance, son prestige, sa réputation et vu qu’elle est consciente que le fromage se fait AVEC LA VIE, grâce aux ferments ou bactéries lactiques et à la présure.

    Qu’elle dise à la société toute entière : vous êtes bien gentils de refuser les engrais et pesticides chimiques de synthèse, vous nous proposez quoi à la place ?

    Prenons soin de la terre.

    En ce qui me concerne, en toute humilité, je suggère que les forces, les capacités, les compétences en présence se rassemblent, comme les fruitières, pour décider ce qu’il y a à faire d’ores et déjà. Je suis certaine que, surtout parmi les jeunes mis en confiance, de géniales idées à mettre en pratique dorénavant, sont déjà dans leurs têtes, prêtes à être mises à disposition de tous, donnant un vrai sens à leur vie.

    https://www.jura-tourism.com/vivre-le-jura/pratiquer/routes-voies-touristiques/les-routes-du-comte/

    Merci de m’avoir lue jusqu’au bout ! Pardon de ma longueur et mes imperfections. Le coeur y est.

    Veuillez croire, Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la filière comté, en ma considération.

    P.S.
    Copie à mes sources et relations…,
    considérant cette lettre comme ouverte à tout le monde.

    compostage

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